Vous étiez vingt et cent...

Vous étiez vingt et cent..

 

Peut-être qu'un jour moi aussi

J'oserai quelque vers qui dérangent.

En écoutant tes mélodies,

Politiquement sans mélange.

 

D'une façon très mélodieuse

Oh tu dévoile tes colères.

Jamais de paroles insidieuses

Tout est parfaitement clair.

 

D'nuits et brouillard à Maria,

De Potemkine à j'imagine,

Une révolte brûle en toi.

Qu'elle ne sombre jamais dans l'abîme.

 

De temps à autre ta plume s'évade

Du chef de gare à Filles modèles.

Et puis soudain tu nous ballades

Dans cette montagne qu'est si belle.

 

Dans ton Ardèche tu vis en paix

Loin du mondain et des médias.

Censure télé, ça tu connais

Mais malgré tout on n't'oublie pas.

 

C'est l'apanage des grands hommes.

Tu me diras, terme trop pompeux.

Mais j'ai envie d'écrire en somme

Et puis de dire ce que je veux.



11/01/2010
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