Poésie passionnément

Ô rage, ô désespoir,

Ô week-end ennemi,

J'ai du mal à vouloir,

Oh qu'il en soit ainsi.

Et pourtant celle que j'aime

En a tellement besoin,

Mais ce silence m'entraine

Dans un cafard certain.

Le temps de dix secondes

Et le moral revient

Car elle danse dans ma ronde

Le jour, la nuit, sans fin.

Bon sang vivement lundi

Que j'entende sa voix

Excuse-moi ma chérie

Si je ne pense qu'à moi.

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C'est vrai que je l'ai dit

Mais j'aime le redire

Que tu es à mes yeux

Une femme exceptionnelle.

T'es entrée dans ma vie

Mon c�ur t'as su séduire

Et moi très amoureux

Ma vie devenait belle.

Tu es mon autre moi

Mon soleil de minuit.

Un partage sans toi

Maintenant je ne puis.

Si besoin d'être j'ai

C'est pour toi qu'je le suis.

Ne me partage jamais

Je t'aime et c'est ainsi.

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J'ai mal de te savoir

Très démoralisée.

Abandonné l'espoir

Des sentiments renoués?

Mais je te sais battante

Jusqu'au bout de toi-même.

Ne dévale pas la pente

La chute est incertaine.

Sache que je serai là

Pour t'aider, te porter

Sans cesse à bout de bras

Même si j'suis épuisé.

Je t'aime du fond du c�ur

Comme j'ai rarement aimé.

Je veux choyer ton c�ur

L'empêcher de saigner.

Et voir sur ton visage

Ce si joli sourire.

Et ton âme sans nuage

J'aimerai la guérir.