On me dit
On me dit..
On me dit que la femme
De l’homme est l’avenir.
Sans vous froisser mesdames
Je crois qu’il n’en est rien.
Si vous êtes bien cette flamme
Tourments de nos désirs,
Vous usez de vos charmes
Et pantins l’on devient.
Un poète il est vrai,
Du nom de Jean Ferrat
La si bien affirmé
Qu’une gêne m’envahi.
Au nom d’l’égalité
Et usant de mes droits,
Sans vouloir l’offenser
Je suis d’un autre avis.
Oui vous êtes notre égal
Ca bien sûr j’en conviens,
Mais de dire que vous êtes
L’air pur que l’on respire.
Que sans vous, c’est fatal
Nous ne sommes plus rien,
Alors je le répète
Cela me fait bien rire.
Aller, je dois l’avouer
Sans jouer les matchos.
Que vous êtes ce soleil
Qui réchauffe nos vies.
Vous nous faites succomber
D’un regard un peu chaud.
Merveilles des merveilles
Oubliez c’que j’ai dit.